Détail de l'auteur
Auteur Thierry Ramadier |
Documents disponibles écrits par cet auteur (3)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Interroger des sources externes
Titre : Dynamiques socio-spatiales et modes d'habiter des espaces urbains : comparaison de Besançon, Mulhouse et Strasbourg Titre original : Socio-spatial dynamics and ways of living of urban spaces : comparison of Besançon, Mulhouse and Strasbourg Type de document : thèse Auteurs : Najib K., Auteur ; Pierre Frankhauser, Directeur de thèse ; Thierry Ramadier, Direction/Jury ; Catherine Rhein, Direction/Jury Année de publication : 2013 Importance : 386 p. Note générale : Université de Franche-Comté, thèse de doctorat de géographie Langues : Français (fre) Tags : dynamiques socio-spatiales inégalités comportements résidentiels espace urbain IRIS 2000 histoire urbaine analyses factorielles enquêtes de terrain socio-spatial dynamics inequalities residential behaviour urban space urban history factorial analyses field surveys Résumé : La répartition spatiale des fonctions et des populations urbaines n’est pas due au hasard, elle peutmettre en évidence des inégalités qui interrogent nos sociétés démocratiques fondées avant tout sur leprincipe d’égalité. Celui-ci s’appuie sur les relations entre le « social » et le « spatial » qui consistentprincipalement à explorer les inégalités sociales dans les espaces urbains et ce qui est ressenti commeune injustice par les individus. Pour saisir ces dynamiques socio-spatiales, nous focalisons notrerecherche sur l’histoire urbaine de Besançon, Mulhouse et Strasbourg ainsi que sur les rapports entreles habitants et leur environnement résidentiel. À l’aide des grandes bases de données géo-localiséesde l’INSEE, nous étudions la distribution spatiale des ménages ainsi que son évolution sur une périodede près de vingt années (de 1990 à 2007). Par ailleurs, nous cherchons à observer les différents modesd’habiter des Bisontins, c’est-à-dire leurs stratégies résidentielles ainsi que leurs pratiques etreprésentations spatiales à l’aide d’enquêtes de terrain. Cette thèse s’appuie donc sur une doubleapproche : l’une macroscopique, historique et quantitative et l’autre microscopique et qualitative. Elleprésente finalement les structures socio-spatiales des zones d’étude et les trajectoires des quartiers(plus précisément des IRIS) afin de montrer les diverses tendances d’évolution (gentrification,paupérisation…) dans une optique comparative. Des facteurs d’évolution spécifiques apparaissentégalement en lien avec la localisation des villes d’étude ainsi qu’avec leurs fonctions urbaines etsociales, leur organisation interne et leur taille. Les enquêtes révèlent, pour leur part, plusieurs règlescomportementales qu’il s’agit de comparer compte tenu de la diversité sociale des quartiers. Cesinformations collectées à partir d’enquêtes sont plus subjectives, mais elles complètent les données desrecensements et leur donnent du sens. Au final, elles montrent que l’appartenance à un groupe sociospatialene détermine pas systématiquement les comportements résidentiels.
The spatial distribution of urban functions and populations is not random, this distribution canhighlight inequalities which call into question our democratic societies based on the principle ofequality. This principle is based on the relationship between the “social” and the “spatial” whichmainly consist in investigating social disparities in urban areas and what is perceived as an injustice byindividuals. To understand these socio-spatial dynamics, we focus our research on the urban history ofBesançon, Mulhouse and Strasbourg as well as the relations between the inhabitants and theirresidential environment. Using large geo-localized databases from INSEE, we study the spatialdistribution of households and its evolution over a period of nearly twenty years (1990-2007). Inaddition, we seek to observe the various ways of living of the residents of Besançon, that is to say theirresidential logics and their spatial practices and representations via field surveys. Thus, this thesis isbased on a double approach: the first one is macroscopic, historic and quantitative and the second oneis microscopic and qualitative. The study presents the socio-spatial structures of the studied cities andthe trajectories of districts (more exactly the IRIS: the smaller census area) in order to show thedifferent trends of evolution (gentrification, pauperisation...) in a comparative perspective. Specificfactors of evolution are also linked to the location of the studied cities as well as to their urban andsocial functions, their internal organisation and their size. The field surveys, for their part, revealseveral behavioural rules that we compare considering the social diversity of districts. Thisinformation collected from surveys is more subjective, but it completes the census data and gives themmeaning. Finally, we show that the membership of a socio-spatial group does not determinesystematically residential behaviours.Laboratoire : ThéMA Equipe : Mobilités, ville, transports Niveau : Recherche Type : Thèse Publication de Théma : Oui En ligne : https://hal.archives-ouvertes.fr/tel-01293761 Dynamiques socio-spatiales et modes d'habiter des espaces urbains = Socio-spatial dynamics and ways of living of urban spaces : comparison of Besançon, Mulhouse and Strasbourg : comparaison de Besançon, Mulhouse et Strasbourg [thèse] / Najib K., Auteur ; Pierre Frankhauser, Directeur de thèse ; Thierry Ramadier, Direction/Jury ; Catherine Rhein, Direction/Jury . - 2013 . - 386 p.
Université de Franche-Comté, thèse de doctorat de géographie
Langues : Français (fre)
Tags : dynamiques socio-spatiales inégalités comportements résidentiels espace urbain IRIS 2000 histoire urbaine analyses factorielles enquêtes de terrain socio-spatial dynamics inequalities residential behaviour urban space urban history factorial analyses field surveys Résumé : La répartition spatiale des fonctions et des populations urbaines n’est pas due au hasard, elle peutmettre en évidence des inégalités qui interrogent nos sociétés démocratiques fondées avant tout sur leprincipe d’égalité. Celui-ci s’appuie sur les relations entre le « social » et le « spatial » qui consistentprincipalement à explorer les inégalités sociales dans les espaces urbains et ce qui est ressenti commeune injustice par les individus. Pour saisir ces dynamiques socio-spatiales, nous focalisons notrerecherche sur l’histoire urbaine de Besançon, Mulhouse et Strasbourg ainsi que sur les rapports entreles habitants et leur environnement résidentiel. À l’aide des grandes bases de données géo-localiséesde l’INSEE, nous étudions la distribution spatiale des ménages ainsi que son évolution sur une périodede près de vingt années (de 1990 à 2007). Par ailleurs, nous cherchons à observer les différents modesd’habiter des Bisontins, c’est-à-dire leurs stratégies résidentielles ainsi que leurs pratiques etreprésentations spatiales à l’aide d’enquêtes de terrain. Cette thèse s’appuie donc sur une doubleapproche : l’une macroscopique, historique et quantitative et l’autre microscopique et qualitative. Elleprésente finalement les structures socio-spatiales des zones d’étude et les trajectoires des quartiers(plus précisément des IRIS) afin de montrer les diverses tendances d’évolution (gentrification,paupérisation…) dans une optique comparative. Des facteurs d’évolution spécifiques apparaissentégalement en lien avec la localisation des villes d’étude ainsi qu’avec leurs fonctions urbaines etsociales, leur organisation interne et leur taille. Les enquêtes révèlent, pour leur part, plusieurs règlescomportementales qu’il s’agit de comparer compte tenu de la diversité sociale des quartiers. Cesinformations collectées à partir d’enquêtes sont plus subjectives, mais elles complètent les données desrecensements et leur donnent du sens. Au final, elles montrent que l’appartenance à un groupe sociospatialene détermine pas systématiquement les comportements résidentiels.
The spatial distribution of urban functions and populations is not random, this distribution canhighlight inequalities which call into question our democratic societies based on the principle ofequality. This principle is based on the relationship between the “social” and the “spatial” whichmainly consist in investigating social disparities in urban areas and what is perceived as an injustice byindividuals. To understand these socio-spatial dynamics, we focus our research on the urban history ofBesançon, Mulhouse and Strasbourg as well as the relations between the inhabitants and theirresidential environment. Using large geo-localized databases from INSEE, we study the spatialdistribution of households and its evolution over a period of nearly twenty years (1990-2007). Inaddition, we seek to observe the various ways of living of the residents of Besançon, that is to say theirresidential logics and their spatial practices and representations via field surveys. Thus, this thesis isbased on a double approach: the first one is macroscopic, historic and quantitative and the second oneis microscopic and qualitative. The study presents the socio-spatial structures of the studied cities andthe trajectories of districts (more exactly the IRIS: the smaller census area) in order to show thedifferent trends of evolution (gentrification, pauperisation...) in a comparative perspective. Specificfactors of evolution are also linked to the location of the studied cities as well as to their urban andsocial functions, their internal organisation and their size. The field surveys, for their part, revealseveral behavioural rules that we compare considering the social diversity of districts. Thisinformation collected from surveys is more subjective, but it completes the census data and gives themmeaning. Finally, we show that the membership of a socio-spatial group does not determinesystematically residential behaviours.Laboratoire : ThéMA Equipe : Mobilités, ville, transports Niveau : Recherche Type : Thèse Publication de Théma : Oui En ligne : https://hal.archives-ouvertes.fr/tel-01293761 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 01151001425861 THE.2013.NAJ Livre Centre de Documentation Disponible Documents numériques
Thèse_Kawtar_NajibAdobe Acrobat PDF La mobilité généralisée / Pierre Lannoy
Titre : La mobilité généralisée : Formes et valeurs de la mobilité quotidienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Lannoy ; Thierry Ramadier Editeur : Bruylant-Academia Année de publication : 2007 Importance : 141 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87209-871-2 Note générale : [actes du colloque : "Auto-néo-éco-mobilités" à Louvain-la-Neuve les 2 et 3 juin 2005] Langues : Français (fre) Tags : Transports et communication Mobilité sociale Niveau : Recherche Type : Ouvrage Publication de Théma : Non La mobilité généralisée : Formes et valeurs de la mobilité quotidienne [texte imprimé] / Pierre Lannoy ; Thierry Ramadier . - Bruylant-Academia, 2007 . - 141 p.
ISBN : 978-2-87209-871-2
[actes du colloque : "Auto-néo-éco-mobilités" à Louvain-la-Neuve les 2 et 3 juin 2005]
Langues : Français (fre)
Tags : Transports et communication Mobilité sociale Niveau : Recherche Type : Ouvrage Publication de Théma : Non Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 1149848542 C9.LAN Livre Centre de Documentation Disponible Se déplacer pour se situer / Sandrine Depeau
Titre : Se déplacer pour se situer : Places en jeu, enjeux de classes Type de document : texte imprimé Auteurs : Sandrine Depeau, Auteur ; Thierry Ramadier, Auteur Editeur : Rennes [France] : Presses Universitaires de Rennes Année de publication : 2011 Importance : 1 vol.(193p.) Format : 24 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7535-1713-4 Prix : 18 euros Langues : Français (fre) Tags : déplacement mobilité quotidienne espace Résumé :
« Pierre qui roule n'amasse pas mousse » di(sai)t-on ! Aux vues des injonctions ou des désirs de dé/re/placement, le rapport à la mobilité reste ambigu : alors qu'être mobile rapporte à certains, pour d'autres c'est un élément de la vie quotidienne qui contribue à leur appauvrissement. Et il en est de même pour « l'immobilité », source d'isolement et de précarisation comme de confort de vie. Au fil des années, les problématiques de recherche sur la mobilité quotidienne se sont diversifiées, notamment parce qu'elles proviennent autant de questionnements qui sont au premier abord extérieurs à la mobilité (problèmes environnementaux, transformation des modèles économiques, rapports entre groupes sociaux, etc.) que de questions plus classiques relatives aux infrastructures de déplacement en tant que telles. Ainsi, plutôt que de décrire toujours plus finement des flux, il est également demandé à la recherche scientifique de comprendre comment se structurent nos dé/re/placements quotidiens. Rares sont les travaux qui associent mobilité et identité à partir d'une analyse des processus qui structurent cette relation, car l'approche phénoménologique est souvent de rigueur. Pourtant, se déplacer dans l'espace géographique, c'est exprimer son rapport aux autres par le trajet et le lieu de destination, par le mode utilisé, par son rapport au temps et à ceux que l'on croise lors du déplacement, etc. ; bref, c'est jouer de la régulation de distances simultanément géographiques et sociales. Ce rapport entre identité et mobilité suppose également que des processus socio-cognitifs participent à la structuration de ces distances tant géographiques que sociales. Ces trois dimensions (spatiale, sociale et cognitive), de la mobilité comme de l'identité, renvoient toutes aux structures sociales pré-existantes, permettant ainsi, d'une part de sortir de la classification strictement spatio-temporelle des mobilités, et d'autre part de dépasser le paradigme individualiste où tout semblerait se passer comme si la mobilité procurait surtout de la « liberté ». C'est plus précisément à partir du rapport entre permanence et construction sociale dynamique, à la fois de l'identité et de la mobilité quotidienne, que cet ouvrage propose d'aborder nos pratiques et de nos représentations spatiales du quotidien.Publication de Théma : Non Se déplacer pour se situer : Places en jeu, enjeux de classes [texte imprimé] / Sandrine Depeau, Auteur ; Thierry Ramadier, Auteur . - Rennes [France] : Presses Universitaires de Rennes, 2011 . - 1 vol.(193p.) ; 24 cm.
ISBN : 978-2-7535-1713-4 : 18 euros
Langues : Français (fre)
Tags : déplacement mobilité quotidienne espace Résumé :
« Pierre qui roule n'amasse pas mousse » di(sai)t-on ! Aux vues des injonctions ou des désirs de dé/re/placement, le rapport à la mobilité reste ambigu : alors qu'être mobile rapporte à certains, pour d'autres c'est un élément de la vie quotidienne qui contribue à leur appauvrissement. Et il en est de même pour « l'immobilité », source d'isolement et de précarisation comme de confort de vie. Au fil des années, les problématiques de recherche sur la mobilité quotidienne se sont diversifiées, notamment parce qu'elles proviennent autant de questionnements qui sont au premier abord extérieurs à la mobilité (problèmes environnementaux, transformation des modèles économiques, rapports entre groupes sociaux, etc.) que de questions plus classiques relatives aux infrastructures de déplacement en tant que telles. Ainsi, plutôt que de décrire toujours plus finement des flux, il est également demandé à la recherche scientifique de comprendre comment se structurent nos dé/re/placements quotidiens. Rares sont les travaux qui associent mobilité et identité à partir d'une analyse des processus qui structurent cette relation, car l'approche phénoménologique est souvent de rigueur. Pourtant, se déplacer dans l'espace géographique, c'est exprimer son rapport aux autres par le trajet et le lieu de destination, par le mode utilisé, par son rapport au temps et à ceux que l'on croise lors du déplacement, etc. ; bref, c'est jouer de la régulation de distances simultanément géographiques et sociales. Ce rapport entre identité et mobilité suppose également que des processus socio-cognitifs participent à la structuration de ces distances tant géographiques que sociales. Ces trois dimensions (spatiale, sociale et cognitive), de la mobilité comme de l'identité, renvoient toutes aux structures sociales pré-existantes, permettant ainsi, d'une part de sortir de la classification strictement spatio-temporelle des mobilités, et d'autre part de dépasser le paradigme individualiste où tout semblerait se passer comme si la mobilité procurait surtout de la « liberté ». C'est plus précisément à partir du rapport entre permanence et construction sociale dynamique, à la fois de l'identité et de la mobilité quotidienne, que cet ouvrage propose d'aborder nos pratiques et de nos représentations spatiales du quotidien.Publication de Théma : Non Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 01151001946687 C9.DEP Livre Centre de Documentation Sorti jusqu'au 01/06/2023