Titre : |
Se déplacer dans le paysage, essai de modélisation de la visibilité depuis les routes franc-comtoises : Septièmes rencontres de ThéoQuant |
Type de document : |
acte de colloque |
Auteurs : |
Nageleisen S. ; Cécile Tannier, Editeur scientifique |
Editeur : |
ThéMA |
Importance : |
1 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Tags : |
paysage déplacement SIG rythme représentation |
Résumé : |
Il existe de multiples acceptions du terme et du concept de paysage et consécutivement de multiples méthodes pour l’étudier. Chez les géographes, l’usage est d’appréhender le paysage d’un point de vue cartographique qui tend à le figer. Cette conception éloigne les géographes des pratiques habituelles des usagers de l’espace. En effet, ceux-ci découvrent et appréhendent le paysage à travers des itinéraires et des modes de déplacements variés qui définissent une succession de découvertes selon les panoramas et les points de vue délivrés. À partir de ce constat, il peut devenir intéressant de réintroduire, dans l’approche géographique, les termes de découverte de paysage en question tels qu’ils résultent de la pratique ordinaire des usagers. Ce travail de formalisation peut se construire, sur des bases raisonnées et expérimentales, grâce aux ressources offertes par les données numériques. En gardant en toile de fond, les informations numériques inscrites dans la continuité de l’espace (MNT, occupation du sol), il s’agit d’y incruster les linéaires de parcours suivis par les usagers dans le « déroulé » du temps. Le croisement de l’ensemble des informations ainsi réunies permet de restituer les propriétés des paysages rencontrés (profondeur de vue, ampleur des champs visuels, objets combinés offerts à la vue, etc.). Au travers de quelques exemples francs-comtois nous verrons, dans un premier temps, quels sont les caractères paysagers mis en valeur en fonction du type de linéaire (autoroute, voie ferrée, route nationale, départementale, chemin). Dans un deuxième temps, nous chercherons à mettre en avant les rythmes composés par les déplacements. Enfin, nous essayerons de démontrer qu’il existe une relation conséquente entre les paysages routiers et les paysages représentés ou recommandés (magazines, guides, cartes). |
Laboratoire : |
ThéMA |
Type : |
Com avec acte |
Publication de Théma : |
Oui |
Se déplacer dans le paysage, essai de modélisation de la visibilité depuis les routes franc-comtoises : Septièmes rencontres de ThéoQuant [acte de colloque] / Nageleisen S. ; Cécile Tannier, Editeur scientifique . - ThéMA, [s.d.] . - 1 p. Langues : Français ( fre)
Tags : |
paysage déplacement SIG rythme représentation |
Résumé : |
Il existe de multiples acceptions du terme et du concept de paysage et consécutivement de multiples méthodes pour l’étudier. Chez les géographes, l’usage est d’appréhender le paysage d’un point de vue cartographique qui tend à le figer. Cette conception éloigne les géographes des pratiques habituelles des usagers de l’espace. En effet, ceux-ci découvrent et appréhendent le paysage à travers des itinéraires et des modes de déplacements variés qui définissent une succession de découvertes selon les panoramas et les points de vue délivrés. À partir de ce constat, il peut devenir intéressant de réintroduire, dans l’approche géographique, les termes de découverte de paysage en question tels qu’ils résultent de la pratique ordinaire des usagers. Ce travail de formalisation peut se construire, sur des bases raisonnées et expérimentales, grâce aux ressources offertes par les données numériques. En gardant en toile de fond, les informations numériques inscrites dans la continuité de l’espace (MNT, occupation du sol), il s’agit d’y incruster les linéaires de parcours suivis par les usagers dans le « déroulé » du temps. Le croisement de l’ensemble des informations ainsi réunies permet de restituer les propriétés des paysages rencontrés (profondeur de vue, ampleur des champs visuels, objets combinés offerts à la vue, etc.). Au travers de quelques exemples francs-comtois nous verrons, dans un premier temps, quels sont les caractères paysagers mis en valeur en fonction du type de linéaire (autoroute, voie ferrée, route nationale, départementale, chemin). Dans un deuxième temps, nous chercherons à mettre en avant les rythmes composés par les déplacements. Enfin, nous essayerons de démontrer qu’il existe une relation conséquente entre les paysages routiers et les paysages représentés ou recommandés (magazines, guides, cartes). |
Laboratoire : |
ThéMA |
Type : |
Com avec acte |
Publication de Théma : |
Oui |
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