Éditeur Eterotopia
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Titre : Écologie queer : nature, sexualité et hétérotopies Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthew Gandy, Auteur Editeur : Eterotopia Année de publication : 2015 Importance : 1 vol. (67 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-93250-07-6 Prix : 11,50 Langues : Français (fre) Résumé :
"Le géographe anglais Matthew Gandy a défini l’ensemble des groupes qui résistent à l’anéantissement de la richesse écologique « alliances hétérotopiques ». Une telle formulation découle d’un étude sur l’Abney Park de Londres. Abney Park fait partie des « magnifiques sept » cimetières de Londres érigés à la moitié du XIXème siècle pour faire face à la rapide augmentation de la population. Quand, à cause de sa surpopulation, le cimetière fut fermé, une longue période de décadence commença. Ce déclin était toutefois seulement apparent. À cause de l’abandon, à la ruine suivit, en effet, une incroyable histoire de croissance écologique. Le cimetière prit de plus en plus les apparences d’un parc, dont les bénéficiaires étaient les catégories humaines/sociales les plus radicales du quartier. Dans Écologie queer, Gandy suggère que la présence d’une énergie omniprésente toujours capable de réinventer les vies, même dans une période de choc socio-économique comme l'actuelle. « Le parc devient donc le théâtre d’un nouvel horizon relationnel entre corps et nature, ainsi qu’entre des sexualités non conventionnelles. Un horizon qui est humain ou pas : queer, justement. » Qu’est ce que l’écologie queer ? “Queer ecology” c’est une façon d’explorer la matérialité urbaine et le rôle des métaphores dans la théorie qui s’interroge sur les transformations des territoires à partir de la compréhension des extrêmes variations que ceux-ci décrivent. La théorie représentée par la “queer ecology” sert à élargir la portée conceptuelle et matérielle de deux champs : d’un côté le domaine de l’écologie politique et les recherches de la pensée du posthumanisme, et de l’autre les nouvelles conceptions de la complexité croissante au sein de la science de l’écologie elle-même. L’écologie queer serait donc une critique à l’homologation des sexualités, ainsi que de la façon d’habiter et de vivre l’urbain contemporain et les territoires. L’écologie queer surmonte la contradiction du capitalisme actuel en y ajoutant le principe de précaution et la primauté du vivant sur la science, reconnaissant ainsi une séparation irrémédiable entre l’être et le savoir qui doit retenir toute notre attention." (Présentation de l'éditeur)
Publication de Théma : Non Écologie queer : nature, sexualité et hétérotopies [texte imprimé] / Matthew Gandy, Auteur . - Eterotopia, 2015 . - 1 vol. (67 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 979-10-93250-07-6 : 11,50
Langues : Français (fre)
Résumé :
"Le géographe anglais Matthew Gandy a défini l’ensemble des groupes qui résistent à l’anéantissement de la richesse écologique « alliances hétérotopiques ». Une telle formulation découle d’un étude sur l’Abney Park de Londres. Abney Park fait partie des « magnifiques sept » cimetières de Londres érigés à la moitié du XIXème siècle pour faire face à la rapide augmentation de la population. Quand, à cause de sa surpopulation, le cimetière fut fermé, une longue période de décadence commença. Ce déclin était toutefois seulement apparent. À cause de l’abandon, à la ruine suivit, en effet, une incroyable histoire de croissance écologique. Le cimetière prit de plus en plus les apparences d’un parc, dont les bénéficiaires étaient les catégories humaines/sociales les plus radicales du quartier. Dans Écologie queer, Gandy suggère que la présence d’une énergie omniprésente toujours capable de réinventer les vies, même dans une période de choc socio-économique comme l'actuelle. « Le parc devient donc le théâtre d’un nouvel horizon relationnel entre corps et nature, ainsi qu’entre des sexualités non conventionnelles. Un horizon qui est humain ou pas : queer, justement. » Qu’est ce que l’écologie queer ? “Queer ecology” c’est une façon d’explorer la matérialité urbaine et le rôle des métaphores dans la théorie qui s’interroge sur les transformations des territoires à partir de la compréhension des extrêmes variations que ceux-ci décrivent. La théorie représentée par la “queer ecology” sert à élargir la portée conceptuelle et matérielle de deux champs : d’un côté le domaine de l’écologie politique et les recherches de la pensée du posthumanisme, et de l’autre les nouvelles conceptions de la complexité croissante au sein de la science de l’écologie elle-même. L’écologie queer serait donc une critique à l’homologation des sexualités, ainsi que de la façon d’habiter et de vivre l’urbain contemporain et les territoires. L’écologie queer surmonte la contradiction du capitalisme actuel en y ajoutant le principe de précaution et la primauté du vivant sur la science, reconnaissant ainsi une séparation irrémédiable entre l’être et le savoir qui doit retenir toute notre attention." (Présentation de l'éditeur)
Publication de Théma : Non Exemplaires(1)
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Titre : Le principe territoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Alberto Magnaghi, Auteur Editeur : Eterotopia Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (236 p.). Présentation : ill. en noir, couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-93250-56-4 Prix : 25 euros Langues : Français (fre) Tags : territoire urbanisme Résumé : Ce territoire composé par petites, moyennes et grandes villes, villages et cités, systèmes agro-forestiers et environnementaux, infrastructures urbaines et rurales, produit des lieux de vie très complexes dont les gènes, la personnalité, la richesse et la beauté sont le résultat de processus de coévolution entre les établissements humains et l’environnement, sédimentés dans le temps long des civilisations.
Ces caractéristiques identitaires et patrimoniales sont reprises dans Le Principe Territoire comme antidote à leur dramatique « désintégration » par la civilisation des machines, dans la course aux Mégapoles pour l’urbanisation globale de la planète. En renouvelant de manière créative tous ces caractéristiques « par le bas », des nouvelles formes conflictuelles de démocratie communautaire, sont générés, fondées sur le développement de la « conscience du lieu » des habitants ; ce processus produit des connaissances et des règles permettant de reconnecter les établissements et l’environnement dans un « milieu-ambiant » autonome et résiliente, capable d’aborder de manière stratégique la profonde crise écologique, économique et sociale que nous vivons.
Alberto Magnaghi, en proposant de nouvelles cultures hydrauliques, environnementales, urbaines, agroforestières, énergétiques et productives comme « éléments constructifs » d’un projet bio-régional, condense, dans ce livre, son expérience et sa vision globale pour orienter le cours d’une future civilisation éco-territorialiste.writers.Publication de Théma : Non Le principe territoire [texte imprimé] / Alberto Magnaghi, Auteur . - Eterotopia, 2022 . - 1 vol. (236 p.). : ill. en noir, couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 979-10-93250-56-4 : 25 euros
Langues : Français (fre)
Tags : territoire urbanisme Résumé : Ce territoire composé par petites, moyennes et grandes villes, villages et cités, systèmes agro-forestiers et environnementaux, infrastructures urbaines et rurales, produit des lieux de vie très complexes dont les gènes, la personnalité, la richesse et la beauté sont le résultat de processus de coévolution entre les établissements humains et l’environnement, sédimentés dans le temps long des civilisations.
Ces caractéristiques identitaires et patrimoniales sont reprises dans Le Principe Territoire comme antidote à leur dramatique « désintégration » par la civilisation des machines, dans la course aux Mégapoles pour l’urbanisation globale de la planète. En renouvelant de manière créative tous ces caractéristiques « par le bas », des nouvelles formes conflictuelles de démocratie communautaire, sont générés, fondées sur le développement de la « conscience du lieu » des habitants ; ce processus produit des connaissances et des règles permettant de reconnecter les établissements et l’environnement dans un « milieu-ambiant » autonome et résiliente, capable d’aborder de manière stratégique la profonde crise écologique, économique et sociale que nous vivons.
Alberto Magnaghi, en proposant de nouvelles cultures hydrauliques, environnementales, urbaines, agroforestières, énergétiques et productives comme « éléments constructifs » d’un projet bio-régional, condense, dans ce livre, son expérience et sa vision globale pour orienter le cours d’une future civilisation éco-territorialiste.writers.Publication de Théma : Non Réservation
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Code-barres Cote Support Section Disponibilité 01151005090325 D0.MAG Livre Centre de Documentation Sorti jusqu'au 22/03/2025